[Critique] A series of ufortunate events saison 2


Casting :
Neil Patrick Harris (Comte Olaf)
Patrick Warburton (Lemory Snicket )
Malina Weissman (Violet Baudelaire)
Louis Hyenes (Klaus Baudelaire)
Presley Smith (Sunny Baudelaire)
 Synopsie :
« Le comte Olaf cherche par les plus vils moyens à dépouiller les trois orphelins Violette, Klaus et Prunille de leur héritage. Les enfants doivent se montrer plus malins que lui, mettre en échec ses plans tordus et le reconnaître sous ses pires déguisements, afin de découvrir la vérité sur le mystérieux décès de leurs parents.
Par allocine »

Série que j’ai beaucoup attendue. Étant fan de base du film avec Jim Carrey. J’avais adoré aussi la saison une. Donc la barre pour l’attente était très haute. Et que vous dire… Cette seconde saison ne m’a pas déçue. Elle a réussi à réunir tous les critères que je cherchais. Mais quels sont ces critères, me diriez-vous ? Hé bien les voici : le côté what the fuck (loufoque, si vous préférez) ! J’ai vraiment pris un plaisir coupable à voir toutes les bizarreries que cette série pouvait nous montrer. Et je pense que les showrunners nous ont montré qu’un quart de ce qu’ils savent faire. Si vous voulez mon avis, la saison 3 sera encore plus folle. L’ambiance de la série. Et le jeu des acteurs. Ces trois critères sont importants pour qu’une série soit réussite.

Je ne saurais vous dire exactement comment sont les livres, puisque je n’en ai lu aucun. Je ne sais donc pas quels livres ont été mis dans cette saison. C’est une erreur que je vais y remédier de ce pas pour mes prochaines vacances dans deux semaines. Vous pouvez hurler « shame » comme dans Game of Thrones.

Cette série est mon troisième coup de cœur en ce début d’année. Je suis agréablement surprise de m’en rendre compte. 2017 avait été plus difficile de côté.

Parlons maintenant de choses sérieuses. Le scénario. Je vous disais que l’ambiance était quelque chose d’important. Dans l’ambiance, cela englobe bien sûr le scénario. Sinon, sans scénario, il n’y a pas d’ambiance. Et franchement, mise à part deux/trois épisodes comme celle de la saison une, le reste était bien. Je n’ai pas eu d’ennui particulier, juste une baisse de régime. Ce qui peut arriver même dans les meilleures séries. Dans Buffy contre les vampires il y en avait aussi. Il y a juste une chose que je ne comprends pas (peut-être est-ce expliqué dans les livres ?). Pourquoi les adultes laissent-ils certaines personnes faire du mal à ses enfants ? Même si à la fin de chaque épisode, ils sont placés dans d’autres tuteurs. SPOILERS : comme dans le dernier épisode, le Comte Olaf est prêt à les donner à manger aux lions. Après, je me dis que, peut-être, il n’y aurait plus de scénario.

Je ne peux m’empêcher de parler des épisodes spéciaux sur le thème freak show. J’en ai vu de toutes les couleurs sur ce thème depuis quelques années à cause d’American Horror Story et The Greatest Showman. Très clairement si je devais faire un classement, celui d’A Series of Ufortunate Events prend la première place. Et ensuite AHS. J’ai tellement pris de plaisir avec cette version-là. Et pourtant, j’avais peur d’être déçue.

Ce qu’il y a de bien avec A Series Of Unfortunate Events, c’est que l’on prend le temps de s’attacher aux personnages, de les connaitre, de voir leur évolution. Dans mon top 5 des personnages cette année il y a : Sunny, Lemory Snicket (pour son côté narratif), Klaus, Violet, Comte Olaf Larry. J’ai adoré détester Carmelita Spats. J’avais l’impression de voir en Esme Squaler, le personnage Debbie Jellinsky dans les valeurs de la famille Addams. Mais vraiment ! Les mêmes mimiques. Je me demande si elle ne s’est pas inspirée de ce personnage.
Neil Patrick Harris est la perfection incarnée en plus de Jim Carrey. Ils sont tellement parfaits dans le rôle du Comte Olaf. Mais je me demande maintenant, quel rôle conviendrait le mieux à Neil Patrick Harris ? Est-ce qu’ils vont le cataloguer dans ce type de personnage dans le futur ?

Si je veux vous parler de la musique, je dois vous parler d’abord du générique. Je disais sur Twitter que ce générique, comme tant d’autres, que c’est impossible de devoir l’ignorer sur Netflix. Il est tellement entrainant qu’il reste dans votre tête pendant au moins deux semaines. Vous êtes obligés de chanter « Look a way ». En français, ce générique dit « cette série va vous gâcher vos journées, vos soirées. Chaque épisode visionné va vous déprimer. » Hé bien, je peux vous dire que c’est véridique. Quand vous en regardez un, à la fin, vous déprimez. Mais sinon, les musiques étaient grandioses. J’en ai pris plein les oreilles. Merci. Et OH MON DIEU ! Ces moments de comédies musicales. Je ne m’en lassais pas.

Voilà, ce sera tout pour moi. Maintenant, je suis impatiente de voir la saison 3 ! Ça va être long d’attendre un an !

Je vous laisse en compagnie de ce magnifique générique


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