[Bilan] J’ai enfin réussi à accrocher à la série Legends Of Tomorrow.

Legends Of Tomorrow est produite par Dc Comics, Warner Bros Television & Berlanti Production. Elle crée par Andrew Kreisberb, Greg Berlanti & Marc Guggenheim. Ce sont les parents d’Arrow, The Flash et Supergirl. Elle regroupe quatre acteurs connus du petit écran : Victor Garber (Martin Stein), Franz Drameh (Jefferson ou Jax Jackson) qui sont tous les deux des personnages de The Flash. Brandon Routh (Ray Palmer / The Atom) & Caity Lotz (Sara Lance/Withe Canary), qui sont dans tous les deux dans Arrow. Après, nous avons quatre personnages réguliers qui sont également dans The Flash : Dominic Purcell (Mick Rory/Heat Wave), Falk Hentschel (Carter Hall/Hawkman), Clara Renée (Kendra Sanders/Haxkgirl) et Wentworth Miller (Leonard Snart/Captain Cold).

Celui que nous ne connaissons pas, le petit nouveau de la bande, est le chef de l’équipe : Arthur Darvil (Rip Hunter) que l’on connait surtout grâce à son personnage Rory dans Doctor Who.

 Cette équipe faite de super-héros et de supers-vilains a été fondée en 2016 par Rip Hunter, un Maitre du Temps qui est venu les chercher depuis le futur. S’il les a choisis, c’est, car ils étaient capables d’affronter une grande menace : Vandal Savage et son armée.

Cette série dure 45 minutes et comporte une saison de seize épisodes. C’est de l’action, de l’aventure, la science-fiction et.

Alors, je ne sais pas si c’est à cause de la pause que j’ai faite durant trois mois, ou je n’ai regardé que très peu de séries en cours parce que j’avais un manque de motivation qui m’a fait apprécier cette série, mais je me pose la question. J’avais le souvenir de quand je l’avais commencé dès son lancement qu’elle m’ennuyait légèrement. L’histoire tournait un peu en rond, certains acteurs m’énervaient (même si c’est le cas pour une actrice au moins) et je trouvai que le scénario mettait du temps à se mettre en place. Pour rappel, je m’étais arrêtée au 1x9 (Left Behind). Je l’ai donc repris cette semaine et j’ai fini les 7 derniers épisodes en trois jours.

Enfin de compte, je n’aurais peut-être pas dû m’arrêter seulement à cet épisode puisque c’est justement à partir de là (enfin du dixième) que nous avançons dans l’histoire. Certes, ça reste toujours le même principe : ils voyagent dans le temps pour arrêter Savage d’enclencher l’apocalypse. Oui, le scénario ne casse pas des briques, mais, néanmoins, le rythme devient différent. Il y a plus d’action, plus d’émotions dans les personnages, nous apprenons à mieux les connaitre.

J’ai d’ailleurs pu faire mon top définitif des personnages :

TOP :

Jefferson

Martin

Mick

Leornard

FLOP :

Vandal Savage

Sara Lance

Mitigés :

Rip Hunter

Ray Palmer

Kendra Sanders

Carter Hall

Dans les personnages cités, je trouve que Jefferson est le plus fidèle à lui-même, le plus travaillé avec son duo Martin. Dans ce quatuor en top, on voit bien qu’ils ne surjouent pas comme pour Arthur Darvil, que j’ai plus apprécié dans la série Doctor Who qu’ici. Il essaie de se donner un genre, mais il n’y arrive pas comparé à Jeff ou Martin, à qui on sent qu’ils ont une facilité à être dans la peau de leur personnage. On ressent leurs émotions.

Je crois que, pour moi, le pire reste Caity Lotz. Déjà que je ne l’ai que très rarement aimé dans Arrow, là, c’est la même.

 entworth a toujours eu son personnage comme ça dès le début. Le ton de la voix qu’il lui donne à Leonard est fait exprès. Ça rend son personnage peu ordinaire. Et puis il le joue tellement bien, j’étais ravie de le retrouver dans une série où il était plus régulier. Nous arrivons à avoir un côté sombre, mais aussi son côté sentimental tout comme pour Mick. Je les ai beaucoup appréciés dans les derniers épisodes ou nous avons découvert une nouvelle facette de leur personnalité. Mick me rappelait un peu le personnage Yul Brenner dans Rasta Rocket, le film de Disney, vous vous souvenez ? Ce gars dur qui en voulait à son équipe, mais que finalement il les aimait quand même et disait : « mais ça ne veux pas dire que je t’aime ». Voilà à quoi ressemble Mick.

Pour ce qui est de Ray, ce que je ne supporte pas vraiment, c’est son côté toujours optimiste. Peut-être aurions-nous du laisser la storyline de ce personnage comme elle devait se terminer, mais au vu de la situation pro de Wentworth il fallait que ça se termine autrement, tant pis. En ce qui concerne Kendra et Carter, j’ai du mal à les ressentir. Fin, mis à part leur destin, y a pas grand-chose à dire. Je suis vraiment mitigé.

Vandale Savage n’a pas été assez exploité, j’étais même heureuse de ne pas le voir durant un épisode, ce qui m’a grandement fait du bien. Il y avait pourtant masse à faire avec ce personnage et le charisme qu'il avait. Dommage.

Cette série n’est pas la série du siècle, elle reste un bon divertissement pour tout public. La soundtrack peu visible est sympathique à écouter. Même en y mettant les personnages principaux des autres séries, ça ne l’a pas rendu plus épique que ça. Les effets spéciaux et le scénario sont minimes, mais bien travaillés dans l’ensemble. Toutefois, cette série ne se classe pas au niveau d’Arrow et de The Flash avec sa première saison. Dans ce domaine je préfère même regarder Doctor Who qui est plus travaillée que celle-ci.

 Après, je vais continuer de la suivre, mais à mon rythme, peut-être pas à celui d’un épisode par semaine même si je me suis attachée à certains personnages. Je sais qu’un d’entre eux ne va pas tenir pendant la saison 2 au vu de sa carrière pro, si vous voyez de qui je parle.

Je conseille cette série si vraiment plus personne n’en a à regarder ou n’est curieux de voir ce que donne une nouvelle équipe de Dc Comics tirée de Arrow et The Flash. Je suis vraiment contente de voir que cette série ne comporte que 16 épisodes, car j’aurais fini par, réellement, l’abandonner si elle était à 22 épisodes comme ses sœurs.

Je mettrais donc un petit 13/20.